Nom complet : yashem ; le premier quolibet qui est l'héritage de parents à peine rencontrés, le contexte politique qui les a vite rattrapés, les parents au visa jamais renouvelé faute de travail qui ont fait partie des seize pourcents de personnes arabes déportées après le drame de 2001, une lutte puis la perte complète des droits deux ans après le début de la bataille juridique à peine comprise, et en adler-knight le nom composé signe d'une chance qu'il n'attendait plus. L'adoption qu'il n'a longtemps pas éventualisé de peur de se rendre compte qu'il la voulait, et enfin le trophée difficilement acquis de la stabilité. Âge, lieu de naissance : vingt-deux juillet deux mille un, dix-sept années de révolutions réinventées à la manière de tempêtes, la naissance sur le sol américain qui lui a assuré la possibilité de rester, la Californie fièrement indiquée sur les papiers, Yashem qui a depuis beaucoup déménagé. Nationalité, origines : les origines irakiennes et sud-égyptiennes qui se mêlent à la naissance sur sol états-unien des deux parents qui se sont rapidement retirés de sa vie sans lui faire reconnaître la valeur de leur culture, toujours une différence par rapport aux autres, toujours une ombre dans le décor, et des tentatives de s'y habituer. Emploi, situation financière : lycéen qui tente encore difficilement de s'accrocher, après des années d'errance enfin deux pères pour y veiller, yashem dont on reconnaît la suite dans les idées mais dont on s'attriste dans certains cours encore du silence qui persiste, la sécurité qui parfois se limite encore aux murs du foyer. c'est l'informatique qui a su avoir toute son attention et dans laquelle il a montré certaines capacités, et dans son entourage des défis de pare-feux toujours plus importants, les jeux-vidéos auxquels il n'a pas été sociabilisé mais dont il a bien rattrapé le reste. Après des années de condamnation bourdeusienne à la précarité, les Adler lui ont permis d'espérer toute sa vie une timide classe moyenne, tout ce que ses parents biologiques auraient pu espérer. Statut civil, orientation sexuelle : pendant quatorze ans la réponse qui a été plus que simple, les personnes différant de la norme établie qu'il n'avait quasiment jamais fréquenté, avant de rencontrer ses parents actuels. Désormais la réponse qui sonne toujours asurée, mais les questions qui se bousculent silencieusement sur ce qui peut l'intéresser. Des regards pour tous les genres en soi, sans qu'ils soient revendiqués, la boule dans la gorge quand il s'agit de s'interroger. À Miami depuis : 2015 soit quatre années. La Floride qui l'a rendu plus anxieux qu'autre chose pendant de longs mois, mais l'adolescent s'est enfin acclimaté. Traits de caractère : très calme x doux x peu ambitieux x méfiant x cérébral x déterminé x juste x rapidement sur la défensive x loyal x peu crédule x obéissant x secret x trop sensible x faible estime personnelle x très anxieux x vif x timide x Groupe : sleep.
we don't deserve happy endingsyashem qui voit le jour dans une clinique publique du quartier, après quelques heures à tergiverser, les parents trop peu confiants pour s'y rendre dans un premier lieu, alors que la douleur et la crainte de le voir mal se présenter auront fini de convaincre le couple à peine anglophone de s'en remettre aux autorités. yashem qui naît américain, comme ils l'avaient toujours souhaité, eux qui auront enfin la légitimité de demander un jour la nationalité. c'est six mois plus tard que la situation qui se complique pour ne plus jamais se simplifier, l'islamophobie qui trouve enfin dans les attentats des raisons d'exister, les mohammed en ligne de mire et qui rapidement se rendent compte que les visa ne seront plus renouvelés.
♚ c'est peut-être l'irak qui s'imposera comme destination finale une fois que les autorités auront saisi les deux adultes qui tentent d'y échapper, saeed le voisin qui promet de s'occuper du bébé contre une pension dont ils promettent qu'elle continuera d'arriver, lui qui pour son travail aura réussi à rester à san josé, miami. puis un jour les sous qui ne parviennent plus, le jeune ouvrier qui ne peut pas s'en occuper plus longtemps, et la reddition de l'enfant aux services d'aides à l'enfance comme point de départ d'une tornade infernale qui aura construit le premier concerné. l'oeil du cyclone d'une malchance organisée, et quinze ans plus tard personne à réellement blâmer.
♚ très tôt, ce sont les adultes qui l'ont abandonné, et qui continuent de le faire, la confiance comme fait abstrait qu'il ne comprend même plus, la défiance et le regard buté parce que la tendresse ne suffit jamais pour avoir leur attention, yashem qui suit les grands. l'incapacité de voler le spectacle pour s'attirer les miettes d'attention si nécessaires, les adultes avec qui il tente constamment le contact mais qui partent si vite qu'ils sont venus, des parents en contrats précaires qui attendent seulement un meilleur poste ailleurs, de l'amour pseudo-familial tarifé. yashem qui ne se fait aucune illusion sur combien il a été oublié, résigné. l'enfance fantôme qui défile intangiblement, l'impression qu'il pourrait s'envoler commme un ballon de baudruche et que personne ne viendrait le rattraper, qui se débat pour rester contre le sol alors qu'il n'en ressent pas la gravité. les déménagements qui se multiplient, déjà quinze en dix ans, les foyers qui se ressemblent tous, le système d, les familles d'accueil qui n'en ont que le titre, et pour se faire aimer il a vraiment tout essayé. pas un connard en soi, l'étranger malgré les papiers trop facilement étiqueté autrement, mais qui se trouve toujours une raison de lutter.
♚ dans l'école une véritable tentative d'émancipation sociale, l'enfant qui est resté aussi attentif et travailleur que possible dès qu'il mettait un pied en classe, mais la le foyer non-existant n'a jamais été propice aux travaux à la maison, et le retard a fini par s'accumuler. l'école n'a jamais été une priorité en soi quand il fallait empêcher six garçons de faire exploser l'intérieur des murs, et la seule famille qui aura tenté quelque chose qui aura vite abandonné devant la tâche, la retraite qui aura sonné la fin du maigre espoir, retour au foyer, réintégration dans l'éternel point de départ.
♚ treize ans, et la possibilité d'un nouveau placement. l'ancienne famille qui subit son divorce de plein fouet, les sept enfants qui ne peuvent plus être gardés, alors on tente un par un de les déplacer. yashem qui trouve sa place dans un nouveau foyer, plus aucun espoir que ce soit le dernier - pourtant, on lui a promis la stabilité. l'inconnu qui en prend en charge quatre, dont une dernière de six ans, fardeau de parents héroïnomanes déjà bien marquée, un ancien policier au regard décidé et au sourire charismatique, la poigne ferme et dure quand les mains se referment sur les siennes, pas beaucoup de paroles de la part de l'enfant placé, une sensation que quelque chose ne va pas qui saisit son jugement avant d'accorder sa confiance. sa femme bien isolée, moins impliquée, qu'ils ne voient quasiment jamais.
♚ quelques mois plus tard, l'impression ne lui aura pas fait défaut. ce sont les mots durs hurlés dans toute la maison sans la moindre interruption, les coups qui partent vite, l'éducation à la dure comme il s'en targue pour les renégats et les délinquants, les punitions sans cesse réinventées et pas d'autre solution que de s'y soumettre pour ne pas les voir s'aggraver. le moindre souffle de travers qui leur aurait valu une condamnation digne d'un tribunal, alors qu'en dehors des murs le courage de l'adulte paraît modèle ; enfin une vraie chance d'éducation qui leur est donnée.
♚ un jour c'est jackson qui se fait attraper pour une consommation de drogues dures, et dont on trouve dans sa chambre suffisamment pour une revente pour une petite partie du quartier. l'adulte qui les attrape tous autant qu'ils sont, pas longtemps avant que ce soit le plus vieux qui se dénonce, et le fanatique qui choisit de lutter à sa manière. -
il va le tuer, répète maria, alors que la femme leur assène que ce n'est pas vrai, qu'elle ferait mieux de se taire, eux qui savent tous quelque part combien la petite a raison. les propos ne plaisent pas, alors il faut la protéger elle, et deux jours plus tard, le retour en classe, les bras écchymosés dont on ne se méfie plus, mais la petite qui raconte tout à une amie, qui le dit à une autre. l'information qui remonte aux services sociaux par le jeu des enfants, puisque l'administration les a abandonné bien avant, seulement présente pour distribuer les allocations en espérant le meilleur, jamais voir de quelles façons elles étaient distribuées, qui finit par alerter. et enfin, deux semaines plus tard, une rencontre inopinée. le spectacle qui défile sous les yeux et le verdict sans appel, les enfants qui devront bientôt être replacés, l'obligation pour lui de les abandonner. les preuves ne manquent pas, les plus grands gardent le silence par habitude, surtout par peur des répercussions ; ce que la petite ne connaît pas. et il a promis que ce ne serait jamais le cas.
♚ le replacement de toute urgence qui est proposé, et un couple qui répond à l'appel à des milliers de kilomètres, l'assitant social qui les met en contact en assurant qu'il pourrait se sentir en confiance, qu'il ne fallait pas s'inquiéter du type de famille ; yashem qui aura mis un moment à percuter de quel atypie il s'agissait. lui qui avait déjà fait son deuil de leur abandon avant même qu'il s'y rende, encore deux ans avant l'émancipation, une possibilité toujours éventuelle de fugue où cette fois ci il serait plus intelligent, irait plus loin, yashem qui met trente longues secondes à hocher de la tête mais qui dit non du coeur, pas envie de se blesser à nouveau à se donner à de nouveaux geôliers, qui se demande quand est-ce que ça s'arrête.
♚ les nouveaux parents qui l'accueillent avec un grand sourire, une chambre à lui et des règles quasiment familiales, deux individus plus grands aux airs équilibrés et épanouis, et pendant deux semaines la persistence de sa confiance endommagée, yashem à l'affut du moindre tort, savoir pour quelles raisons il devra se méfier. les deux adultes qui se comportent comme de vrais parents, deux hommes, et la peur de les voir aussi fusionnels qui naît. cruelle ironie après la dernière expérience que de voir le père se dédoubler pour se mettre d'accord sur les punitions à lui adresser. des journées entières passées dans sa chambre, là où on ne peut rien lui reprocher, le silence comme un trésor défendu malgré l'amabilité des plus vieux, pour john rien de grave, juste une transition, le temps de s'acclimater. quelques questions de temps en temps, surtout sur son droit de sortir, de s'assurer qu'il pourrait toujours quitter la maison et de quelle façon, et aucune réalisation de l'acte au final, n'en trouvant pas la raison.
♚ les semaines qui s'enchaînent sans qu'elles l'enchaînent, mais lui qui ne trouve pas de quoi se rassurer soi-même, l'épuisement des cauchemars répétés, toutes les tentatives de trouver le sommeil qui échouent de la même façon, la fatigue de la terreur qui continue de s'installer, et la douceur du nouveau foyer qui rend la transition trop compliquée, la nuance qui devient plus brutale encore avec la dernière famille, l'autre qu'il n'aurait jamais du à ce point normaliser. les regards butés puis fuyants au moindre fait, toujours aussi attentif à la moindre réaction, le myocarde qui bat à rompre dès que l'un des deux hommes se lève un peu trop vite, les sursauts mal dissimulés au moindre éclat de voix.
♚ une fois c'est jensen qui doit sûrement décider que c'en est trop et que ça ne peut continuer ainsi, la respiration en suspends du brun qui se demande alors ce qui va bien arriver, de quelle façon il pourrait finir sanctionné. la position assise dans un coin de sa chambre, le lit trop apaisant pour qu'il puisse s'y calmer, et l'adulte qui s'approche, un peu, doucement. deux heures du matin sur le réveil électronique sensé le réveillé dans cinq heures, sans qu'il prévoit à un moment de se rendormir. jensen qui parle tout doucement et yashem qui écoute en silence, le regard braqué vers le sol qui se tourne enfin vers d'autres horizons, espérer que le nouveau parent ne s'arrête jamais sans jamais l'admettre. la lèvre inférieure qui tremble un peu plus chaque fois qu'il fait un mouvement supplémentaire, le pompier qui en fait le moins possible, la voix constante, accroupi en face de lui. -
t'as pas de l'eau? pour briser le silence et lui qui semble s'en satisfaire, la discussion qui s'oriente vers john et son métier, le rire soufflé du plus jeune alors qu'un psy lui est conseiller comme dernier rempart avant d'assumer, yashem qui a peut-être quelques choses à traiter, et le plus vieux des couples qui ne lui a absolument jamais rien fait de mal qui pourrait être bien indiqué. au petit matin, l'adolescent se place juste à côté du premier concerné, sourire timide et regard un tout petit peu moins fuyant envers l'interlocuteur de la soirée. -
je vais avoir besoin d'une nouvelle calculatrice, est-ce qu'on pourra y aller ensemble? à peine audible, mais john qui consent de la tête, et petit à petit la confiance qui se gagne, les progrès à peine visibles dehors mais des pas de géant tous les jours ; toujours pas de raisons de ne pas rester.
♚ c'est deux ans plus tard que la décision de recueillir un nouvel individu s'est prise d'elle-même, yashem qui s'est retrouvé malgré ses premières appréhensions très impliqué dans le processus, l'espoir d rendre un peu de l'amour qu'il avait pu recevoir, de se sentir moins seulement redevable, alors que le profil de mary apparaissait sur l'ordinateur familial. les plus grands qui avaient quitté le nid depuis un petit moment, la solitude ressentie de cette façon pour la première fois en dix-sept ans de vie commune, toujours entouré, souvent etouffé, l'adolescent qui ne s'était jamais retrouvé enfant unique et maria, les autres, les plus jeunes, qui commençaient à lui manquer, complexe du survivant, rien d'étonnant selon les dires de john. mary qui a enfin rejoint leur foyer, les mêmes airs de rescapés, bien que sur une durée significativement plus courte ; le grand frère improvisé qui s'est promis de ne jamais la laisser craindre quoi que ce soit, et un amour inconditionnel envers la dernière qui lui a rendu un petit bout de sa personnalité.
♚ petit à petit, la question de l'adoption plénière qui a fini par se poser. dans un premier temps la crainte de se retrouver hors de l'aide sociale à l'enfance qui l'a persuadé de ne jamais répondre dès que le sujet commençait à être évoqué, dernière défense si jamais le couple venait un jour à souhaiter l'abandonner, yashem pas fan des plans sur la comète et qui savait très bien combien les adultes avaient tendance à se lasser, mais devant l'enthousiasme de la petite et la compréhension du processus a fini par se décider ; tout doucement, les papiers à son nom qu'il a commencé à proposer, le dossier posé sur la table, une grande inspiration une fois que la plus jeune a fini de se préparer pour se mettre au lit, yashem qui revient dans le salon, moins tendu, toujours un peu. -
je me suis dit que ce serait mieux pour elle si c'était officialisé qu'on était frère et soeur. j'aimerais bien porter vos noms, si vous voulez bien. le regard timide mais un peu plus souriant,des difficultés à expliquer combien c'est important, de poser des mots, mais une vraie volonté de l'exprimer autrement. le patronyme mohammed qui n'a jamais vraiment eu de liens avec lui-même, juste des origines qu'il reconnaîtrait à peine et les questions incessantes de son entourage à ce sujet, qui ne risqueraient pas de s'améliorer vu le nom composé - mais déjà beaucoup plus l'envie de le défendre et de prouver qu'il le mérite.
♚a little bit of heaven, a little bit of hellholding out for a hero | deux soeurs et un frère qui sont arrivés dans sa vie tardivement, la famille construite par les adoptions de deux pères aimants | un chat, un lapin et un chien ; le lapin qui est du à d'importantes négociations de sa part, alors que la voisine menaçait de se débarrasser du père de bébés inopinés, le mâle qui a depuis été stérilisé et coule des jours heureux en liberté dans la maison, la propreté rapidement enseignée. toujours assez proche de yashem qui a su créer un contact, le caractère tranquille des deux et un début de vie constitué de faux départs répétés comme points communs pour les unir à jamais | le karaté le plus traditionnel commencé après les propositions des deux pères convaincus par le fait qu'apprendre à se défendre physiquement ne pourrait qu'aider, yashem a toujours été réinscrit depuis, et trois ans et demi plus tard c'est le premier kyu qui appelle à se faire remplacer par la première dan après des efforts acharnés | absolument aucune connaissance de ce qu'il souhaite faire plus tard ; yashem lutte pour savoir, mais qui n'a pas l'habitude d'avoir su voir loin jusque là, et qui bute sur toutes les options qui lui sont dorénavant disponibles ; l'université de miami qui l'a déjà rendu admissible en informatique, sociologie et soins infirmiers, yashem qui peine à imaginer dans quoi il veut s'orienter. | un intérêt très marqué par la lecture partagé par toute la famille, les discussions sur la psychologie avec son père qui tiennent une certaine place dans son coeur, comprendre enfin comment fonctionnent les cerveaux des héros | yashem qui a été diagnostiqué dyslexique après quelques années d'ignorance des professeurs qui avaient mis l'incompréhension des règles grammaticales sur bien d'autres choses, un retard qu'il aura fallu s'acharner à rattraper pour en arriver là où il est, encore loin d'être l'élève le plus brillant de la famille, peut-être plus facilement le plus travailleur cependant | ce sont les ordinateurs qui ont plus rapidement eu son intérêt ; l'amour du codage mêlé à l'envie de rester tranquille dans une chambre qu'il n'a longtemps pas pu avoir pour lui tout seul, ainsi qu'une compréhension assez naturelle des composants utiles, là où son orthographe encore un peu faible ne sauraient pas le ralentir pour s'expliquer | un sens aigu de la politisation qui trouve toutes ses origines dans les compositions des familles qui l'ont créé, que ce soit celle de sa naissance ou celle qui aura décidé de le garder. après quelques années à ne pas savoir quoi répondre, le jeune homme qui revendique son afro et ses deux pères et qui annonce la langue qui claque n'avoir plus rien à expliquer | athée ; la culture de ses ancêtres qui n'a jamais pu être transmise, et qui paraît trop peu naturelle par conséquent, yashem est complètement non pratiquant si ce n'est pour faire noël ou pâcques avec sa famille maintenant, et des questions à poser sur les histoires entre les chiites, les sunnites, les kurdes et soufis qu'il garde pour le jour où il rencontrera finalement une personne qui saura y répondre, pour enfin savoir d'où il vient | un procès a été lancé il y a quelques mois contre son ancien tuteur, il a choisi de ne pas y prendre part de peur de ne pas être cru, trouvant qu'il n'avait pas tant de preuves et que sa parole serait forcément remise en question - en plus de craindre de réveiller les vieux démons à peine endormis. il a tendance à regretter de temps en temps de ne pas savoir ce qu'il en est, mais l'impression de rater quelque chose de nécessaire ne dure jamais longtemps
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@jensen adler Un petit mot ? le forum est magnifique. fluide, clair, bonne intégration, gens trop gentils dans la section invités, et la famille est trop bien!
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j'aime beaucoup le début de ta fiche 
j'ai lu ta fiche et j'avais tellement aimé ton style d'écriture aussi! ça signifie encore plus pour moi du coup merci 
