Nom complet : Jack André Denvers, l'héritage paternel, les coutumes familiales qui pèsent dans son éducation, il porte tous en deuxième prénom celui de leur géniteur. Âge, lieu de naissance : Le 12 avril, il a 45ans, sa jeunesse qui s'évade au fur et à mesure que les rides marquent son visage. C'est ici même qu'il a vu le jour, à Miami, dans ce même hôpital où il exerce. . Nationalité, origines : Fervent partisan de son Amérique, de sa Floride, accro aux matchs que lui des Miami Heat. Il l'aime son pays, il l'aime sa nation et la diversité qu'elle offre. Quelques lointaines racines françaises ont fait perdurer certains prénoms dans sa famille, une mère canadienne qui a débarqué de son Vancouver natal pour devenir actrice, il fallait bien que jeunesse se fasse. Emploi, situation financière : De famille, ils voulaient qu'il s'investisse dans un domaine moins superficiel, il a dérogé à la règle, devenu chirurgien plasticien, le désaccord de son paternel anciennement dans le service cardiaque et membre du conseil administratif de l'hôpital. Il aurait, il pourrait devenir chef de son service, si, et seulement si, certains de ses déboires n'avaient pas été ébruités au sein de tout l'hôpital. Statut civil, orientation sexuelle : Plus jeune c'était un coureur, véritable Don Juan, sa réputation n'était plus à faire, et aujourd'hui encore elle semble ne pas ternir. La cinquantaine approchante, son cœur est devenu pierre, l'amour qu'il porte ne se dirige que vers son fils d'un an. Elle a voulu le laisser, plus jamais il ne la respectera, plus jamais il n'accordera sa confiance aux femmes. À Miami depuis : Toujours, il a vu le jour au Mercy Hospital, il a grandi dans les couloirs de l'hôpital. Son père, cette ombre qui plane au dessus de sa tête à chaque fois qu'il entre dans le hall de l'hopital. Mais ils sont différents, bien différents, ça, tout le monde le sait. Traits de caractère : sérieux, déterminé, rancunier, loyal, franc, protecteur, courageux, tête brûlée, intelligent, jaloux, intransigeant, arrogant, charismatique, charmeur, séducteur, joueur, fier. Groupe : sleep.
we don't deserve happy endings001. Parce qu'il a toujours mit son père sur un piédestal, parce qu'il était beau, il était grand, il était fort, il sauvait des vies, quitte à mettre la sienne entre parenthèses lors des nombreuses soirées d'anniversaires, de Noël ou du nouvel an. Son métier lui allait comme un gant. Et dans la rue, ils venaient lui serrer la main, tapotaient gentiment le haut du crâne du petit garçon admiratif de son paternel. Parce qu'il a toujours vu sa mère seule, essayer tant bien que mal de percer dans des sitcoms qu'ils ne regardaient même pas. Une carrière mise également entre parenthèses pour s'occuper de la petite fratrie. Il y a eu la petite sœur, le joli petit bijou de la famille, celle qui n'admirait pas papa, parce que papa elle ne le connaissait pas, elle n'en voyait que l'ombre qui passait la porte de sa chambre pour l'embrasser tendrement sur le front, pendant que Jack lui l'attendait de pieds fermes en haut des escaliers espérant qu'il vienne lui raconter comment il avait sauver cette bonne femme, peut-être qu'il enjolivait les choses, très certainement même, que ne ferait-on pas pour qu'un fils regarde son père avec des étoiles dans les yeux ? De longues discussions jusqu'à tard dans la nuit, il a eut lui, tout ces privilèges que sa petite sœur n'a pas pu avoir, façonnée à l'image que maman voulait. Elle qui a passé plus de temps à l'emmener d'un casting à un autre, jusqu'à un nouveau, elle en avait fait sa petite poupée, pendant que Jack grandissait avec le modèle d'un père chirurgien absent.
002. Puis il a grandi, il a compris que s'il ne rentrait pas le soir pour le souper c'était parce que quelque chose d'autre le retenait. Il a compris que son travail valait bien plus que sa famille. Ça il l'a vu le jour où il est arrivé dans les couloirs de l'hôpital, son ticket d'entrée qu'il avait eu, avouons le, avec tellement de facilité, pour un fils de médecin, pour étudier à l'Université de Standford. Cette vision, il aurait préféré ne pas l'avoir, si pour une fois il avait écouté la pauvre réceptionniste lui dire qu'il était actuellement occupé, il ne serait pas entré, comme à son habitude dans les chambres vides de l'hôpital. Il n'aurait pas trouvé son père, pantalon blanc sur les chevilles, blouse ouverte, entrain de fourrer l'une de ses collègues. Elle n'était pas bien jeune, elle venait souvent d'ailleurs cette bonne femme à la maison. Elle aidait sa mère à préparer le repas, et, de son air hypocrite, alors qu'il la voyait atteindre le point culminant de son orgasme, elle souriait quand elle exigeait que cette pauvre femme au foyer reste assise pendant qu'elle débarrassait le couvert en compagnie de son père. Oui, les seules fois où il le faisait, il s'en souvenait maintenant Jack, c'était quand elle était là, et ils riaient à gorge déployée dans la cuisine pendant que sa mère faisait les petites annonces dans le journal. Oh non, l'admiration qu'il avait pour lui, l'exemplarité de son statut de médecin, de son siège au conseil de l'hôpital, tout ça, en l'espace d'une fraction de seconde, venait de s'écrouler sous ses yeux. Ce n'était visiblement pas son métier qui lui prenait du temps, c'était elle.
003. Il aurait très bien pu tout arrêter, ne pas aller à Standford, abandonner ses idéaux de chirurgien cardiaque, devenir pourquoi pas un patron de boîte de nuit aux hobbies peu orthodoxes, il aurait très bien pu devenir simple agent immobilier et vendre du rêve à Miami à ses bonnes personnes qui désirent s'offrir un empire avec à peine quelques dollars dans les poches. Ça aurait été la solution de facilité face aux relations qui se détérioraient au fur et à mesure des années entre lui et son paternel. Le divorce avait d'ailleurs été prononcé, maman était partie avec une belle somme d'argent, elle avait embarqué la petite puisque Jack avait décidé de se rendre à Standford, étudier la médecine, faire comme papa, le bon fils qui suivait l'exemple. Crétins qu'ils étaient de croire qu'il allait suivre le chemin tracer de son père. Ce n'était pas le cœur qu'il allait étudier au grand damne de son paternel, il allait à son tours vendre du rêve, refaire des poitrines, sculpter des nez, liposucer des cuisses, agrandir des lèvres,... Ce paraître dans lequel il avait grandit, il en ferait son métier. La superficialité, cette branche de la médecine que son père n'admirait pas, qu'il détestait. « Parce que gonfler des nibards ça te plaît ? » Lui avait-il dit au court d'une énième discussion houleuse autour de la machine à café. « Là au moins, je suis certain que tu ne mettras pas les pieds dans mon bloc. » Et il avait raison. Il était devenu le mouton noir de la famille, tout en ayant réussi à tirer son épingle du jeu.
004. C'est un véritable coureur de jupon aux mœurs étranges. Un secret qu'elles ne sont que trop peu à connaître. S'il fait l'amour à certaines, ce qu'il préfère c'est le terme vulgaire de baise. Ce n'est tendre et chaleureux, c'est bestial et vulgaire, et ce n'est que lorsqu'elles grimacent de douleurs, qu'elles lui demandent péniblement d'arrêter qu'il se donne enfin le droit à prendre son pied. Dominant qu'il est, il tient les ficelles de ses jeux coquins, parfois malsains, de temps à autre à la limite du politiquement correct. Le plaisir, il ne le prend que lorsque sa partenaire se montre faible, qu'elle s'offre à lui, qu'elle soit sienne, qu'elle accepte son statut d'objet. Alors oui, elles sont peu, très peu à avoir pu prendre part à ses petits plaisirs. Parce qu'elles ne sont que trop peu à accepter ce qu'il leur propose. Il venait à peine d'entrée à la faculté quand l'une de ses camarades de classe lui a montrer cette perversion qui lui fait atteindre son apogée. Elle était maître en la matière, il a pourtant réussi à la surpasser. Un duo explosif, sadomasochiste, jusqu'à ce qu'il la plante, jusqu'à ce qu'il se lasse de l'avoir elle en unique partenaire de jeu, il en a trouvé une autre, et éventuellement une nouvelle, qui préféra malheureusement prendre la fuite la première fois qu'il lui mit une simple fessée. Ce genre de partenaire ne se trouve pas facilement, elles sont même rares, ses pulsions il les garde, les conserve, et se venge de temps à autre en s'accordant quelques privilèges en compagnies de jeunes femmes venues de l'Est. Ce n'est certes pas très légal, mais elles ont la particularité de ne rien dire des clients et de leurs fantasmes. 005. Kristen n'est autre que sa meilleure amie. Oui, il a essayé de la draguer la première fois qu'ils se sont rencontrer, les quelques jours suivant il n'a d'ailleurs pas perdu espoir de la mettre dans son lit, mais voyant le caractère déterminée qu'elle lui montra, il s'inclina. Elle lui tenait tête, n'hésitait d'ailleurs pas à le remettre à sa place. Kristen est très certainement l'unique personne au courant de son addiction malsaine quant à ses rapports sexuels particulier.
005. Et si finalement ce n'était qu'une façon pour lui de calmer ce qu'on lui a diagnostiqué lorsqu'il était petit ? TEI, autrement dit trouble explosif intermittent se caractérisant par des expressions de colère extrêmes pouvant très souvent être violente. Il n'était âgé que d'une dizaine d'années lorsqu'il a eu sa toute première crise. Lui qui a toujours eu ce qu'il demandait en un claquement de doigt n'a pas résisté à cette sensation incontrôlable qui prenait possession de son corps. Bien que mit rapidement sous traitement médical par la demande expresse de son père, Jack a avec le temps appris à contrôler ses pulsions, par l'intermédiaire de ses aptitudes sexuelles originales ainsi que de nombreuses séances en compagnie d'un psychologue qu'il paye une petite fortune tout de même. Meilleur dans son domaine, Kristen s'assure avec une extrême vigilance qu'il se rende bien à ses séances. Récemment, Jack essaye de diminuer la prise de ses médicaments, ne voulant pas finir comme bon nombre de ses confrères, accro à ces substances destructrices physiquement et moralement, le corps médical n'est pas aussi beau qu'on ne le montre.
006. Sa relation avec Ali, parlons en quelques instants justement. S'il s'accommode parfaitement lorsqu'il est entouré, avec le docteur Walcott les choses semblent différentes. Ils se connaissent depuis tout autant de temps qu'il ne connaît Kristen et une chose est sûre leur relation n'a jamais été des plus tendre. Jack, après s'être gentiment vu relégué dans la dite friendzone par Kristen n'a semble-t-il pas vu d'un très bon œil la relation qu'elle commençait à avoir. Le côté protecteur peut-être, l'égo d'un homme qui s'est vu refuser une nouvelle proie sur son tableau de chasse, très certainement. Avec le temps cette animosité s'est estompée, force était pour lui de constater l'amour qu'ils éprouvaient l'un pour l'autre. Souvent du côté de Kristen, c'est à guise de petits pics bien cinglant qu'il a toujours fait comprendre à cet homme que malgré le fait qu'il avait obtenu son cœur, il n'aurait pas plus qu'une simple et maigre sympathie à son égard. Du moins le pensait-il jusqu'au jour où c'est lui-même qui s'envola pour Bali récupérer Kristen. Si elle ne l'aimait plus, grand bien lui fasse, mais qu'elle soit au moins présente pour sa deuxième fille. Alors non, il ne l'apprécie pas plus que ça, vieille rancœur de ses années de médecine maintenant derrière lui, mais il a été présent pour lui, pour Marissa défunte aînée, pour la deuxième qu'il considère comme sa fille. Et si finalement il se laissait amadouer par cet homme ? Si finalement les rancœurs laisseraient place à une forme de soutient, oui il était là, il l'a prit dans ses bras quand la dureté de la vie s'est acharnée sur lui, sur eux. Le temps apaise les choses et à l'aube de ses cinquante ans qui approchent, il se surprend à rire avec lui.
007. Son style vestimentaire n'est pas ce que l'on peut qualifier de particulier mais un bon nombre de regards se tournent dans sa direction. Des costumes, aussi luxueux les uns que les autres, des couleurs variantes du bleu, au rouge, en passant par le beige ou les couleurs aubergines. Héritage du goût de l'élégance de sa mère. Jamais il ne porte autre chose que ses magnifiques costumes qu'il prend soin de choisir le matin avant de se rendre à l'hôpital. L'élégance est le maître mot, hors de prix aussi pourrait entrer dans la liste des costumes qu'il choisit. Il fait son effet, là où il passe, boutonnant sagement ses boutons de manchettes, elles sont là, plusieurs à se mordre de manière sensuelle la lèvre inférieure. Ce qui fait la différence ? Le petit mouchoir en satin qu'il porte discrètement sur la poche gauche de ses veste, toujours accordée à la couleur de sa chemise. En revanche, il est hors de question pour lui de porter un nœud papillon ou une cravate, ne boutonnant déjà jamais le deux derniers éléments de ses chemises, il ne supporte pas d'avoir cette sensation d'être étriqué dans un vêtement.
008. Le sport a toujours été pour lui une forme d'exutoire, passion qu'il partageait beaucoup avec les hommes de la famille Denvers. Principalement le Basket Ball, ayant refait les poitrines de la plus grande partie des épouses des membres de l'équipe des Miami Heat, Jack se voit bien souvent offrir les meilleurs places lors des matchs importants qu'ils disputent. Son instagram pourra le démontrer, Enrique Iglesias, Flo Rida ou encore Jason Derulo, ils sont là, à ses côtés. De même, il pratique de nombreux sports, notamment le surf, depuis son plus jeune âge, la résidence secondaire de ses parents se trouvant sur les côtes, Jack a passé de nombreuses saisons les pieds dans l'eau à surfer sur les vagues quand la météo le lui autorisait. Il joue également du piano, ayant pratiqué le solfège en compagnie de sa sœur, cette dernière favorisait le violon là où il faisait jouer ses doigts sur les touches blanches du piano du salon. Mêlant quelques paroles à ses chansons. Plutôt crooner, il revisite certains titres actuel à sa manière. Lorsqu'il était encore interne au Mercy Hospital, il n'hésitait pas jouer quelques airs et pousser la chanson dans le bar du coin lorsqu'ils n'étaient pas en service, en compagnie de Kristen et forcément... Ali.
009. Au premier abord, l'on pense qu'il soit cet homme célibataire, sans aucunes attaches, qui s'applique dans son travail, un homme ayant réussi dans la vie, qui n'a toujours pas la bague au doigt. Les conquêtes qu'il cumule, son train de vie décalé laisse à croire qu'il ne se casera jamais. Pourtant, s'il y a bien une personne envers qui il se montre fidèle, une personne envers qui il se bat chaque jour un peu plus pour l'aider c'est son fils, son unique fils, le seul être sur terre qui le pousse à être un homme meilleur, un homme loin de l'image de son père toujours absent. Il a un an et il regarde son père avec cette même lueur dans les yeux qu'il avait quand lui-même était un gosse. Ce fils, dont il a dû réaménager l'intégralité de la maison souffre d'infirmité motrice cérébrale. La vie ne lui a pas fait cadeaux, à lui, ce petit garçon qui n'avait rien demandé, à lui, ce père qui ne se prédestinait pas à l'être. Il en a l'entière garde, la responsabilité de l'élever et de l'éduquer du mieux qu'il le peut. Ce n'est pas facile tout les jours et bien souvent il pourrait tomber dans ses vilains démons, mais ça serait agir en lâche et ça, il ne l'est pas.
010. Elle était bien trop jeune pour l'assumer, elle voulait vivre sa vie. Elle n'était qu'une simple conquête de plus à qui il accordait quelques petites faveurs chirurgicales en échanges d'une partie de jambe en l'air. Trop jeune, trop belle, trop simple, elle est tombée enceinte, sur un coup de tête, pensant qu'elle pourrait le tenir finalement, c'est elle qui n'a pas tenu le choc. Il l'aimait, à sa manière, elle devenait une régulière il n'allait pas voir ailleurs. C'est elle qui l'a laissé, qui les a laissé. Son enfant, et lui. Elle ne voulait pas devenir mère, encore moins d'un infirme. Elle les a rejeté, déjà qu'elle n'était pas apprécié par l'entourage de cet homme. Elle visait son porte monnaie et la reconnaissance de son statut. Kristen l'avait prévenu, Ali aussi, mais têtu qu'il était il allait contre le choix de cet homme. Le choix a été rapidement fait, jamais plus elle ne pourra prétendre à le voir, à les voir. Ce n'est que colère, écoeurement et rage qu'il a pour cette femme. Cette pauvre gamine. Il a pensé sa plaie parce qu'au delà de ça, elle lui a donné un fils. L'accro à la chirurgie qu'elle était. Aucune nouvelle et c'est tant mieux ainsi, elle est peut-être en enfer à l'heure actuelle, c'est tout le bien qu'il peut lui souhaiter.
011. Le docteur Jack De vers est connu dans l'hôpital, de part son père, ancien chirurgien cardiaque mais également membre du conseil administratif de l'hôpital, mais également par de nombreuses actions qu'il a lui-même commis au sein de l'hôpital. Certains le suspectent de faire bénéficier à certaines patientes des opérations "gratuites" en échange d'actes sexuel, si ça n'est pas avéré les rumeurs ne se font pas sans quelques fondements. De même, il lui est arrivé une fois d'entrer dans un état de colère tel que la sécurité a été contrainte de le sortir du couloir par la force, ça n'a été vu qu'une seule fois. Jack est un homme qui ne se laisse pas marcher sur les pieds, souvent au cœur de nombreuses discussions le ton peut s'élever très facilement face à ses supérieurs. Cependant, Jack est l'un des meilleurs dans son domaine, le perdre serait comme se mettre une balle dans le pied. Récemment le quarantenaire a proposé sa candidature en tant que chef de service mais ses nombreux déboires ainsi que son trouble semblent être un frein à son évolution. Papa n'est plus là, pour une fois qu'il aurait pû l'aider.
012. Bien souvent, il est invité à de nombreux gala de charité, une façon toute aussi superficielle que son métier, de se montrer. Et s'il n'est pas souvent le plus enclin à s'y rendre, il termine la plus grande partie de ses soirées en compagnie de belles jeunes femmes. Espèrent-elles lui mettre le grappin dessus ? C'est peine perdue, elles le savent, il leurs dit, mais elles s'attachent, elles aspirent à devenir la nouvelle Madame Denvers.
En vrac : 013. il fume énormément, et il ne peut se passer de son éternel café clope du matin. En parlant de café, il ne s'en passe pas. Et en boire avant d'aller se coucher ne le dérange et ne dérangera absolument pas son sommeil. Quelques petits vices avec un peu de Marijuana qu'il arrive à prendre à quelques jeunes du quartier. Rien de bien méchant, de quoi soulager les journées difficiles.
014. Amateur de voiture, il en change quasiment tout les six mois. Comme l'était son père, il aime les voitures de course et se rend régulièrement sur des circuits afin de pouvoir faire rouler les quelques petits bolides qu'il garde précieusement dans son garage.
015. Sa sœur et lui entretiennent des rapports fusionnels bien que souvent houleux. Il donnerait son cœur pour elle, tout comme il pourrait facilement lui en coller une quand elle décide de lui prendre la tête, chose qu'il n'a jamais faite, lever la main sur une femme, mise à part pendant ses jeux.
016. Il sait cuisiner, au plus grand bonheur de ses amis. De temps à autre il organisait des repas chez lui avant d'habiter chez Kristen, où il invitait quelques collègues pour leurs préparer un repas accompagné de vins tout aussi bons qu'ils n'étaient chers.
Pseudo/prénom : maash, joanna.
Âge : vingt-sept ans.
Où as-tu connu le forum ? je crois que je l'avais vu à l'état de projet sur Bazzart et aujourd'hui je le trouve en publicité :cheers: .
Crédits photos : upandfaith, tumblr.
Avatar : Tom Ellis
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Type de personnage : pré-lien de
@Kristen Walcott.
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